L'histoire lue sur le blog de Maître Eolas (La machine à fabriquer des délinquants) plaide pour l'interdiction de toutes limites aux pouvoirs d'adaptation aux personnes dévolus aux juges :

C'est pourquoi on peut voter toutes les lois répressives et sécuritaires que l'on veut, mais il ne faut pas toucher au pouvoir du juge d'adapter sanctions, peines et mesures de sûreté aux nécessités réelles du dossier. Lui ôter ce pouvoir, en imposant des irrecevabilités arbitraires et insensées, en lui imposant des peines planchers ou en lui prohibant la clémence, c'est inévitablement aboutir un jour à une injustice imposée par la loi.